Kuchiki Byakuya

"Les larmes ne sont rien d'autre que la défaite du corps contre le cœur"

Nom : Kuchiki Prénom : Byakuya Surnom : Il ne veut pas que je les prononce ni ne les écrive Âge : Né un 31 janvier Sexe : Masculin Race : Shinigami Rang :  Roku Ban Tai Taicho Spécialité : Kido

Feat. Kuchiki Byakuya Bleach ©️ Copyright

Description physique

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Du haut de ses 1m80, Byakuya possède une corpulence  assez svelte, sous son air empli de prestance et de noblesse dédaigneuse.  Cette dernière se reflète  aisément sous ses traits harmonieux, délicats  et d’une pâleur laiteuse. Ce visage pourrait vous paraître doux à décrire, mais la réalité nous le révèle  plutôt  sévère et impassible, contrastant avec ses cheveux de jais, soigneusement emprisonnés sous ses Kenseikaan, coiffe témoignant de son rang et de son appartenance au sein de la noblesse. Seule une large mèche retombe fièrement au devant de son front, accentuant cette impression de sérieux qui orne ses traits, laissant entrevoir des yeux  aux pupilles anthracite et instigatrices. Un regard aux allures insondables, tout en laissant refléter une lueur faussement indifférente envers toute personne qui se présentait à sa vue. Ce n’est qu’à l’abri des regards, ou lorsqu’il se recueille au devant de l’autel de son épouse, que  son regard si ombrageux exprime une tristesse ancrée et indicible sous le silence résolument tenu par ses lèvres closes et fines, retenant avec volonté ces mots qui pourraient trahir cette nostalgie qu’il éprouve chaque jour.

Son menton ne se cache plus  sous le revêtement du "Ginpakukazaharu", cette écharpe d’une blancheur immaculée et qui se transmet depuis la troisième génération, au sein du clan Kuchiki, car cela gâcherait l’effet de son nouvel Haori. Son kimono est semblable aux uniformes officiels du Gotei 13, bien que démarqué par le Haori blanc cité un peu plus haut. En effet bien que toujours embelli par le seau de la sixième Division, il comporte désormais un col orné d’un liseré doré. Ses mains  aux phalanges longues et fines, sûres et habiles sont quand à elles, toujours sous la protection conférée par ces gantelets blancs.

Sa démarche n’est que noblesse et de précision, sous une impulsion certes lente mais dynamique. Sa posture se révèle droite, voir stoïque et dédaigneuse, surtout quand le voile de ses paupières vint à couvrir ses orbes grises lorsque l’on vient à lui parler, démontrant par là une certaine indifférence placide.  Aucun tic  au niveau de la gestuelle, ne désire trahir sa personne, toute implicite qu’elle soit. Chose qui peut, je le concède, énerver plus d’une personne un tant soit peu….plus énergique.
Pourtant question réflexe, Byakuya n’en est nullement dépourvu, surtout lorsqu’on connaissait  sa célérité en ce qui concernait le Shunpo. Il est donc malvenu que de se leurrer sur son apparence si lattant, et arrogante.

Description mentale

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Kuchiki Byakuya est un personnage au caractère sévère et inflexible. Du moins c’est ce qu’il cherche à laisser transparaître en se faisant distant et froid socialement, que ce soit avec son entourage proche ou éloigné, ne tenant pour compagne que cette solitude si fidèle. Cela peut donner à penser qu’il cherche ainsi à créer une distance respectable entre ce qu’il ressent et ce qu’il doit faire, observant une discipline plus qu’irréprochable envers son clan et son devoir de shinigami. Mais quoi de plus étonnant, lorsque l’on n’ignore point que nos faits et gestes sont en constante observation et soumis au jugement des anciens et des autres familles, soulignant ainsi une forme de transparence…. C’était quelque peut ironique, lorsqu’on savait sans peine, que tout n’est qu’apparence, omission volontaire  et arrogance, sous le sermon de la  loi  et de l’exemple. Cependant, Byakuya n’est pas de ces nobles avilis par l’argent ou dépourvus de volonté. Car sinon comment sa légende prendrait forme en ce cas.

Non en vérité, notre chef de clan possède certes une fierté des plus poussées concernant sa personne, mais aussi un sens de l’honneur et de la droiture.  Chose qui dans un sens le fait passer outrageusement pour un homme bien trop stoïque, sous cet aspect calme et sage. Sagesse cachée sous le rideau de l’indifférence, qui fait de lui un être réfléchi et non une personne téméraire. Habile de son esprit l’analyse des faits était en soit un exercice des plus  habituels, parvenant ainsi à résoudre les problématiques et les équations qui s’imposent à lui. Cependant, fort de son individualisme, il lui arrive parfois de s’enliser en un silence persévérant…ignorant toute forme d’aide sous le carcan de sa fierté, et c’est dans ces instants précis que l’on perçoit enfin ses failles…ouvertures certes minimes mais qui nous permet d’entrevoir l’être qu’il est. Byakuya est en réalité une personne emplie de tristesse et de silence, ne se faisant comprendre de que de manière implicite que se soit en actes comme en paroles.  Des mots qui ne sortent qu’avec parcimonie de ses lèvres pâles. C’était là un art qu’il n’emploie point à outrance, sous une tonalité des plus monocordes, ne dépassant point le décibel adéquat  d’une conversation des plus posées. Il en est de même en ce qui concernait le combat, jamais le noble Kuchiki ne se livre à des élucubrations plus qu’inutiles face à l’ennemi, bien au contraire, son silence était le maître mot, tout comme l’ironie. Son sens de la logique et de la stratégie lui offrent un atout conséquent, jusqu'à prendre une longueur d’avance sur les tentatives de ses opposants, bien que parfois, cela ne paye pas toujours, car sous le joug de son orgueil il n’est pas rare que cela lui fasse défaut.

Fier de sa puissance,  Byakuya ne supporte pas que l’on soit familier envers lui et ne se prive pas de rabaisser avec verve et cynisme  cinglant ses adversaires. Seul trois personnes se permettent de familiarité envers sa personne, et curieusement,  notre chef de clan ne s’avise plus à leurs en faire la réprimande, cela est une chose bien inutile, et la futilité était un affront à sa patience.

Uhmm…l’impatience… Voila un fait qui lui est resté propre au fil des ans. En effet,  malgré ce que l’on peut imaginer, Byakuya ne fut pas toujours ainsi. En effet dans sa jeunesse, il était d’une impulsivité déconcertante et d’une colère surprenante, ce qui ne plaisait pas toujours à son grand père, qui espérait le voir un peu plus réfléchi dans ses manières afin qu'il remplisse au mieux ses devoirs envers la maison qu'il représenterait plus tard, soutenir ce qui est fort et non ce qui est faible, autrement dit ne point céder à la précipitation et agir avec réflexion, concédant enfin que la facilité de l’emportement était mère de toute stagnation. Cependant cette impulsivité ne fut démontrée qu'en présence de Dame Yoruichi, et qui diable pourrait l'en blâmer quand on connait cette dernière.

Pour en revenir au présent, il n’est pas rare que de remarquer l’absence de Byakuya en ses quartiers, lorsque la nuit vint à tomber sur le Seireitei.  Aller savoir pourquoi… mais cette obscurité égaillé par les étoiles et la présence plus  que maîtresse de la lune, pourtant si veule, a le don de l’apaisé, en son fort intérieur, alors qu’il s’éloigne sans réel  but...Juste une simple promenade.  En vérité c’est l’un des rares moments, ou  il peut enfin être seul avec lui-même. Réfléchir aux décisions sans que nul ne vienne l’interrompre, voir  à  se laisser emporter par ses réminiscence plus anciennes, et qui avaient marqué un pan de sa vie. Ses pas le mènent souvent jusqu'à cette étendu d’eau, ce bassin artificiel qui se trouve en son domaine, abritant sous son bras liquide, ses carpes Koï.  Cela semblent être un ravissement que d’observer le mouvement lent et élégant de ces poissons, laissant l’astre nocturne, faire reluire par moment leurs écailles. Du moins c’est ce que l’on pourrait croire, si Byakuya désire nous laisser être le témoin de cette scène, et ce en sa propre présence.  Mais comment concède-t-il à cela, sachant qu’il révélerait un attrait plus fragile de son être. Non cela est plus qu’impensable.  De plus,  pour donner le change, il s’adonne aussi à un tout autre loisir, celui de la calligraphie. Chose peu étonnante pour un homme qui apprécie la précision et le dénie pour les gestuelles inutiles ou de trop.

Ses yeux se voilent parfois  sous ses paupières, en présence d’autrui,  comme s’il désire garder certaines choses silencieuses et secrètes… des promesses  qui ne peuvent point être proférées, mais  respecter. Une forme de conduite qui doit être le file de son existence.  

Description du pouvoir

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En terme de combat, Byakuya est du genre polyvalent.  Plutôt bon bretteur, il est toute fois plus performant en matière de Kido. Quand à sa vélocité, il n'a pas à en rougir non plus sans pour autant être un  spécialiste.  C'est là le souci de la polyvalence, c'est que l'on n'est maître dans aucun domaine en vérité. Mais néanmoins, le noble tente vers l'équilibre, afin d'être un adversaire accompli.


Senbonzakura :

Son nom n’est autre que  Senbonzakura, ce qui se traduit par : Un millier de pétales de fleurs de cerisier. Quand à son apparence sous  forme scellée, elle ne représente qu’un simple Katana ayant un sori de taille moyenne et de couleur mauve. (Sa lame si cela vous sied plus). Sa garde est de forme rectangulaire, comme démontrant une certaine rigueur.

Sous forme libérée, la lame disparaît  en ne laissant que la garde dans   la main de son porteur et se transformant alors en  de fines lames qui se reflètent au soleil, comme des pétales de cerisier. Sa phrase de libération est " Shire Senbonzakura. "

Description du Shikai :

Ce n’est que lorsque Byakuya prononce les termes "shire  Senbonzakura" tout en maintenant son arme devant son regard,  que son zanpakuto révèle son shikai, et se disperse dans les airs en de multiple lames qui prennent l’apparence de pétales de fleurs de cerisier sous les rayons du soleil. Chaque lame est sous son contrôle et il peut les diriger sans heurt par le biais de la garde de son arme qu’il tient toujours en main.


Description du Bankai :

"Senbonzakura Kageyoshi"  autrement dit : Ombres brutales d’un millier de fleurs de cerisier. Cette première phrase augmente de façon considérable le nombre de lames ainsi que leur rapidité. Byakuya n’ayant plus d’arme en main, peut diriger les pétales à l’aide de ses bras et accentuer leurs vélocités.

"Senkei Senbonzakura Kageyoshi" , permet de laisser de côté la défense pour privilégier l’offensive. Les lames prennent l’aspect de vrais zanpakuto.  Des lames à l’aspect fantomatiques  forment une surface circulaire autour des combattants, assombrissant les cieux. Elles  circulent lentement tout autour d’eux sans jamais s’arrêter, et ce sur plusieurs niveaux. Byakuya peut appeler une lame pour qu’elle prenne forme en sa main et redevient un sabre à par entier.

« Gokei Senbonzakura Kageyoshi » Il s’agit là de rassembler toutes les lames en une sorte de boule, qui empêche la cible prise  au-dedans d’en ressortir. Sa faculté est d’attaquer par tous les côtés et toutes les trajectoires les plus inimaginables.

"Hakuteiken"  ce qui se traduit par «  Épée blanche de l’Empereur ». Elle rassemble toute l’énergie qu’il possède sur sa propre personne, tout en prenant la forme d’un grand oiseau blanc. Il s’agit là d’une ultime attaque que le noble utilise


Autre :

Utsusemi: C'est une technique de déplacement ultra-rapide. Elle permet un mouvement d'esquive, laissant une projection de soi-même comme leurre derrière soit. Ainsi, elle permet non seulement d'échapper à l'attaque, mais de faire croire à l'ennemi qu'elle a bien été victime de cette même attaque. Ainsi, cette technique ouvre également une possibilité de contre-attaque. Là où elle se démarque du Souseiji Shunpo, c'est qu'elle est plus rapide. Le mouvement est tel qu'il s'apparente réellement à une téléportation. Cependant, un seul clone est crée car c'est un mouvement unique. Un simple pas. Ce clone optique qui prend l'attaque, réagit comme si le shinigami était réellement touché.

Hohou

Shunpo : Le combattant en concentrant son énergie spirituelle sous ses pieds est alors capable de parcourir de grandes distances en peu de temps et de pas. A un certain niveau nous avons même l'impression d'une téléportation

Senka : Mouvement consistant à passer derrière son adversaire grâce à l'utilisation d'un Shunpō en rotation et de toucher ainsi le saketsu et le hakusui en un seul coup (ces deux points sont les points du corps contenant l'énergie spirituelle. Les détruire, c'est enlever aux opposants toute leur énergie spirituelle (reiatsu) qu'ils possèdent.

Histoire/Test RP

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Le silence régnait en maître sur la plaine. Le vent soulevait à peine les hautes herbes tâchées par de fines gouttelettes de sang étrangement brillantes, offrant un sentiment troublant de stupeur, alors que le noble franchissait pas après pas, la distance qui le séparait de cette vue macabre. A gauche, un râle brisa un  court instant le silence. A droite.. Un reiatsu tressaillit avant de disparaître définitivement. L’odeur de l’hémoglobine se faisait plus forte à chacune de ses enjambée, tandis qu’un bourdonnement sonore se fit un peu plus fort…  Le dégoût vint à naître en sa bouche, quand Byakuya  posa son regard ombrageux sur les traits tirés par la souffrance et l’incompréhension des cadavres qui lui faisaient face désormais, les mouches remplissant déjà leur office.  Ses muscles se contractèrent sous le revêtement de son habit, et son cœur battit plus fort. Cependant, fort de ce qu’on lui avait enseigné, le noble Taïsho exerça par réflexe, une respiration lente et silencieuse, afin de garder l’esprit clair, tandis que par prudence, il glissait déjà sa main de combat sur la garde de son Zanpakuto.  C’est à ce moment là, que ses sens perçurent une présence non loin de lui et un rire nerveux confirma cela…

Lentement, il se tourna vers cette silhouette un peu masqué par le soleil, et  se figea…ce rire, jamais il ne l’avait entendu de ses lèvres. Comme jamais  auparavant, il n’avait constaté ce regard violacé le fixé avec autant de douleur et  de détermination.  Ses mains ensanglantées tremblaient à peine sur son arme tout aussi souillées que le sol. Ce rouge carmin vitale, qui faisait frissonné rien qu’à sa vue.  Ce visage si  réservé en sa présence, semblait démunie de tout sentiment…cela ne se pouvait.

- Rukia….

Fit-il de sa voix atone, alors que ses pupilles anthracite dévisageaient sa jeune sœur. Elle ne semblait pas le quitter du regard, tel un prédateur face à sa proie. Son souffle ne trahissait aucune hésitation, et Byakuya  chassa de son esprit les sentiments qui menaçaient d’éprendre son esprit. Le cœur n’avait pas sa place présentement. Pas en fixant un tel regard braqué sur soi. Le noble Roku Ban tai Taïsho, savait que tourner le dos, lui serait fatale.  Peu à peu, le puzzle se mettait en place en son esprit cartésien..Partout se trouvait la signature de Sode no Shirayuki.  Il pouvait distinguer maintenant les résidus de glace entremêlés de sang. C’est cela qui le rendait si brillant à son regard.  C’est alors que Rukia interrompit le file de ses pensées en prononçant ces paroles aussi ténébreuses que glaçantes :

“Adieu.. Nii sama”

Ce fut comme une morsure des plus intransigeantes à son égard, alors que ses pupilles se dilatèrent par la surprise tandis que Rukia se ruait déjà sur lui,  son zanpakuto alors dévoilé de toute sa blancheur, braquer sur sa personne.  Qu’il était étrange de vivre cela. Qu’il était ironique de ce voir à sa place…il y a de cela quelques années déjà. En effet, comment ne pas se rappeler du visage défait de sa cadette, après avoir sur ses mains.. le sang de son supérieur, Shiba Kaïen.  A l’époque, Byakuya n’avait pas même cherché à comprendre ce qu’elle avait pu ressentir, tellement borné à ne pas vouloir croiser son regard qui était alors comme une gifle. Hisana… jamais il n’avait su ne pas l’entrevoir en elle, bien qu’il reconnaisse leurs différences. Quoi qu’il en soit.. Ce soir là, il n’avait fait que lui tourner le dos, lui faisant sans aucun doute ressentir un peu plus encore, le poids de l’échec. Un acte qu’en ce jour il regrettait amèrement.. Par le passé, il n’avait point été le grand frère qu’elle estimait. Pourtant, jamais elle ne lui avait reproché quoi que ce fût.

La distance s’amenuisait terriblement entre eux, et le noble kuchiki n’avait toujours pas  fait le moindre geste.  Son visage n’exprimait rien, si ce n’était cette impassibilité, son regard gris acier ne quittait pas celui de sa sœur, quitte à s’y noyer….tandis que sa main restait comme figée sur la surface de son arme.  Porter la main sur sa sœur, reviendrait à rompre la seule promesse qu’il ne regrettait finalement pas d’avoir fait.  Hisana lui avait apporté une sœur… une présence qui saurait vaincre sa solitude et le convaincre de continuer d’avancer. Une raison pour ne pas fermer son cœur à double tour… même s’il avait fait cette erreur pendant cinquante longues années.  Pas une seule fois son esprit ne se focalisa sur la trahison, comme si son être réfutait cette donnée pourtant si évidente visuellement.  Qu’importe cela.. qu’elle soit possédé par un hollow, ou bien condamnée à mort pour avoir tué sciemment ces hommes… Il ne revenait à personne qu’a lui-même de la libérer. Le noble se décida enfin à dévoiler de son fourreau Senbonzakura, prêt à répliquer à celle qu’il avait juré de protéger. Il éleva la lame  au niveau de son visage et proféra de cette même voix monocorde :

- Shire Senbonzakura.

La lame s’étiola en de fines pétales, dévoilés par les rayons du soleil qui brillait au dessus d’eux,  et se séparèrent en deux bras quasi invisible….s’envolant dans les airs, alors que Rukia n’était plus qu’à quelques pas déjà. Soudain l’impact ce fit, et Byakuya ressentit dès lors un violent frisson de douleur lui parcourir la poitrine, l’invitant à se courber légèrement en avant.  Le sang, vint à monter le long de  sa gorge et glissa à travers les commissures de ses lèvres fines et pâles.  Son regard parût plus brillant  alors qu’il s’abaissait pour entrevoir une belle lame blanche.. Immaculé de rouge… son sang. Le froid l’envahissait déjà, et la voix de Senbonsakura se faisait oppressante au sein de son esprit. Pourtant, dans un ultime effort, le noble vint entourer de ses bras le corps de sa sœur qui paraissait alors réaliser son acte… Le souffle hiératique, Byakuya vint à pencher son visage sur son épaule… tandis que le vrombissement funeste de ses lames se fit plus net.. Elles se rapprochaient d’eux jusqu’à les engloutirent, voilant désormais leur présence tout en couvrant  alors la voix mourante et murmurée du noble

- Adieu Rukia…

Devant l'écran

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Pseudo : Bya, Byabya
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